Il y a exactement 10 ans, depuis
Toulouse, décollait pour la première fois l’Airbus A380, le plus gros avion
civil de transport de passagers à ce jour.
C’est dès la fin des années 1980 qu’Airbus
a commencé à penser à un très gros porteur civil qui pourrait concurrencer le
Boeing 747 en étudiant la faisabilité d’un appareil pouvant transporter 600 à 800
personnes.
(Photo signée par l'équipage du 1er vol de l'Airbus A380) |
Puis, au début des années 1990,
Daimler-Benz et British Aerospace, membres importants du consortium Airbus,
proposent une étude de faisabilité conjointe avec Boeing – en effet, ce marché
du très gros porteur ne pouvant avoir assez de commandes pour deux concurrents,
il parut logique, au début, d’avoir une étude pour un avion commun
Airbus-Boeing : le VLCT (Very Large Commercial Transport).
Mais Boeing se retire en 1995 pensant
que le coût du projet serait vraiment trop onéreux avec une estimation Boeing à
plus de 15 milliards de $ tandis qu’Airbus penchait vers un coût de 8 milliards
de $. Boeing préférant développer des dérivés de son 747.
Airbus se met alors à développer le
Programme Airbus A3XX.
Ce projet est un véritable défi
technologique car l’avion doit répondre à certains critères afin de pouvoir
être exploité par les installations aéroportuaires existantes, et bien sûr être
un Très Gros Porteur. Il faut aussi éveiller l’intérêt des compagnies pour un
appareil de ce type, notamment les compagnies asiatiques essentiellement visées
par ce marché.
Après près de cinq années d’études de
faisabilité, de contacts avec les compagnies aériennes pour des futures
commandes et surtout la feuille de route de cet avion qui va être construit en
pièces détachées dans plusieurs pays d’Europe avant un assemblage final à
Toulouse, Airbus lance officiellement le 19 décembre 2000, le Programme Airbus
A3XX qui devient Airbus A380.
Le 80 ne suit pas la ‘’logique’’ des
dénominations des appareils d’Airbus qui se suivent (A300, A310, A320, A330,
A340). Le 8 représente, en vue en coupe, le double pont de l’avion, mais aussi
le chiffre porte-bonheur dans la tradition asiatique, dont le marché est visé
par Airbus.
En 2001, la configuration définitive ou
presque de la l’avion est définie et adoptée, et les travaux de la première voilure
débute en janvier 2002.
Malgré un dépassement de coût largement
dépassé – plus de 18 milliards d’euros au lieu des 8 annoncés), le programme
continue ainsi que la construction du premier exemplaire prototype d’essais (le
MSN001 / immatriculé F-WWOW), qui est officiellement présenté au public lors d’une
cérémonie (Roll-out) le 18 janvier 2005, chez Airbus à Toulouse, trois ans à
peine après les débuts de construction.
Il y a lors de cette cérémonie, des
représentants des 14 compagnies aériennes qui avaient déjà commandées des
exemplaires de l’A380. Et c’est aussi ce jour là, que la nouvelle livrée
blanche (et lettres en bleu) des appareils Airbus fait son apparition, à la
place de la traditionnelle livrée arc-en-ciel.
Entre mars et avril, plusieurs tests de
roulage et de freinage sont réalisés avant ce fameux 27 avril 2005 à 10h29, où
près de 40 000 personnes – qui se sont déplacées exprès aux abords de l’aéroport
de toulouse-Blagnac – vont assister au premier vol de ce nouveau fleuron d’Airbus,
le fameux A380.
L’équipage est composé de six hommes :
- Claude Lelaie, et Jacques Rosay, les
deux chef-pilotes de chez Airbus
et les ingénieurs de vol Fernando
Alonso, Manfred Birnfeld, Gérard Desbois et Jacky Joye.
Pour ce premier vol d’une durée de 3h51
minutes, l’avion va voler à 3 000 mètres d’altitude. L’avion ne transporte
pas de sièges mais tout un équipement de mesures et de calculs de données ainsi
que ballasts d’eau simulant le poids des passagers et permettant de vérifier la
stabilité de l’A380.
L’avion se pose sans encombre à 14h23 après
avoir survolé la piste Concorde à 100 mètres d’altitude – à la grande joie des
spectateurs.
Ce premier prototype, ainsi que quatre
autres, vont pendant près de 15 mois effectuer tous les vols et tests de
certification nécessaires afin d’avoir les autorisations de l’Agence Européenne
de Sécurité Aérienne (AESA) et de la FAA américaine. 2 500 heures de
vol-test auront été effectués dans toutes sortes de conditions, comme par grand
froid, chaleur, humidité, etc … pouvant montrer que l’Airbus A380 est un avion
sûr et apte à la commercialisation. Il y a eu même des simulations de vols
longue durée pour voir le comportement de passagers sur ce type de vol.
En juin 2005, lors du Salon du Bourget,
les présentations en vol de celui-ci ont ravi le public et en ont fait la
vedette de cette édition 2005 – près de 500 000 personnes s’étaient
déplacées. Depuis, à chaque Salon, l’A380 fait toujours sensation … Pour l’édition
du Salon 2009, c’est l’ancien astronaute Philippe Perrin qui présentait l’appareil
au public. En 2011, l’appareil prévu pour les démonstrations heurte un pavillon
et endommage l’extrémité de son aile. L’appareil retourne à Toulouse pour des
réparations rapides et en attendant, c’est l’exemplaire qui devait être livré à
la Korean Airlines qui assure les démonstrations pour le public.
Salon du Bourget 2005
Salon du Bourget 2007
Salon du Bourget 2009
(l'intérieur de l'Airbus A380 de test avec ses ballasts d'eau) |
(avec Philippe Perrin) (Vol d'entrainement avant le salon au-dessus de la maison à Dugny) |
Salon du Bourget 2011
Le petit incident d'aile de l'A380 lors du Salon du Bourget 2011 (cliquez sur le lien en jaune)
http://salondubourget2011.blogspot.fr/2011/06/ouverture-du-salon-du-bourget-2011.html
Salon du Bourget 2013
Salon de ILA Berlin 2010
Salon de Farnborough 2012
Comme dit plus haut, la construction de
l’A380 est très complexe car répartie dans plusieurs pays, et cela a entrainé
au début des délais de livraison et une logistique très importante, notamment
pour le transport des pièces – par la route et par eau – jusqu’à l’usine
Jean-Luc Lagardère à Toulouse, pour l’assemblage final..
C’est la compagnie Malaysian qui a reçu
le premier exemplaire destiné aux compagnies. C’est le MSN003 (immatriculation
9V-SKA) le 15 octobre 2007. Il effectue son premier vol le 25 octobre 2007 sur
le trajet Singapour-Sydney. Les billets avaient été vendus aux enchères et les
prix atteints ont été très élevés pour des passionnés qui voulaient faire
absolument ce premier vol.
Le plus gros client de l’Airbus A380 est
la compagnie Emirates.
En janvier 2015, le total des commandes
ferme est de 317 exemplaires dont 156 ont déjà été livrés.
Le 23 juin 2006, la Poste française rend hommage à l'Airbus A380 en émettant un timbre à forte valeur faciale - 3 euros. Le timbre est l'oeuvre de l'artiste et designer Cassian Koshorst, qui a créé aussi le nouveau logo Airbus et la livrée des appareils d'essais.
(Enveloppe 1er Jour signée par Cassian Koshorst) |
Les communiqués de presse d’Airbus parus
lors du Roll-out de l’appareil le 18 janvier 2005
lors du Roll-out de l’appareil le 18 janvier 2005
Janvier 2005
A380: le tout nouvel avion à double pont
L’A380 de 555 sièges, qui sera mis en ligne en 2006, est
l’avion civil le plus moderne, le plus spacieux et le plus performant de tous
les temps. Lancé en décembre 2000, l’avion considéré par Airbus comme le
« fleuron du 21e siècle », a été conçu en étroite
collaboration avec les grandes compagnies aériennes, les aéroports et les
autorités aéroportuaires et services officiels.
Doté des technologies les plus avancées au niveau des
matériaux, systèmes et processus industriels, l’A380 satisfait aux exigences
internationales les plus strictes en matière de certification. Capable de
transporter 35 pour cent de passagers de plus que son concurrent le plus
proche, et avec une surface plancher nettement supérieure, l’A380 permet aux
compagnies aériennes d’offrir aux passagers de chaque classe un confort hors
pair avec plus d’espace pour étendre les jambes.
La rentabilité et la technologie avancée de l’A380 se
traduisent par des coûts au siège-kilomètre inférieurs de 15 à 20 pour cent et
une autonomie de 10 pour cent supérieure à celle des autres avions de grande
capacité.
L’A380 offrira tout simplement de nouveaux standards de
voyage aux passagers des principales lignes long-courriers telles que
Londres-Singapour et Los-Angeles-Sydney.
La croissance du trafic aérien est toujours d’actualité
dans les prévisions. Dans ce contexte, l’A380, fort de sa capacité passagers
supérieure, contribuera à limiter l’encombrement de l’espace aérien en
transportant davantage de passagers sans augmenter le nombre de mouvements
d’appareils. Ses niveaux de bruit et d’émissions sensiblement réduits
permettront de minimiser son impact sur l’environnement. Equipé de réacteurs de
nouvelle génération et d’une voilure et de trains d’atterrissage de conception
et technologie avancées, l’A380 ne se contentera pas de respecter les limites
de bruit actuelles, mais sera beaucoup plus silencieux que son
concurrent ; il faut noter qu’il génère moitié moins de bruit au décollage.
Le respect de l’environnement de l’A380 ne s’arrête pas
aux réductions de bruit. L’usage sans précédent de composites et autres
matériaux légers a permis de réduire sa masse, et par voie de conséquence, sa
consommation en carburant – inférieure de 12 pour cent à celle de son
concurrent – contribuant à minimiser l’impact des gaz d’échappement sur
l’atmosphère. L’A380 sera, en effet, le premier long-courrier à consommer moins
de trois litres de carburant par passager aux 100 kilomètres, une consommation
comparable à une voiture familiale économique.
Tout en présentant les avantages d’une conception
entièrement nouvelle, l’A380 étendra les atouts de la communité de la famille
Airbus au secteur des très-gros-porteurs. Grâce à la similitude des postes de
pilotage, procédures et qualités de vol de tous les Airbus équipés de commandes
de vol électriques, les équipages pourront être affectés de ces différents
Airbus à l’A380, moyennant une formation supplémentaire de courte durée
seulement.
Pour l’A380, Airbus a coopéré avec une soixantaine de
grands aéroports, afin de garantir la compatibilité de l’appareil avec les
infrastructures aéroportuaires et une mise en ligne sans heurts. L’A380 fournit
la solution la plus responsable sur le plan socio-économique pour faire face à
l’encombrement du trafic et des aéroports. L’alternative, l’augmentation des
mouvements des avions existants, nécessiterait non seulement des milliards de
dollars d’investissements dans les infrastructures aéroportuaires (construction
de pistes, terminaux, voire d’aéroports) mais contribuerait à un encombrement
accru et un impact beaucoup plus important sur l'environnement. Le point de vue
d’Airbus a été confirmé non seulement par la forte participation de l’industrie
au programme dès le départ, mais aussi par le remarquable succès que remporte
déjà l’A380 sur le marché. Fin Janvier, le programme totalisait des commandes
fermes et engagements d’achat émanant de 15 clients et portant sur 154 A380,
dont 27 versions cargos.
La famille A380 se décline à
partir d'une version passagers de base d'une capacité de 555 sièges en
configuration tri-classe, et d'une autonomie de
15 000 km/8 000 nm. La version cargo A380F pourra
transporter une charge marchande de 150 tonnes sur une distance de 10 400
km/5 600 nm. En outre, des versions allongée, raccourcie et d’autonomie
supérieure, dérivées du modèle de base, seront proposées à l’avenir, selon les
besoins du marché. L'A380 sera équipé des réacteurs Trent 900 de Rolls-Royce ou
GP7200 de The Engine Alliance (partenariat entre General Electric et Pratt
& Whitney).
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Janvier 2005
Fournisseurs
et partenariat industriel : une nouvelle façon de travailler ensemble
L’A380 a donné l’occasion à Airbus de développer une
nouvelle façon de travailler avec tous ses fournisseurs et partenaires
industriels, existants et nouveaux, en leur permettant de s’impliquer davantage
dans le développement et l’avenir à long terme du programme.
Les sociétés et fournisseurs du monde entier espéraient
contribuer à l’A380, l’avion le plus gros et le plus moderne jamais construit.
Ils souhaitaient vivement relever le défi de participer à ce programme
d’avant-garde, qui créera de nouvelles références dans l’industrie pour de
longues années à venir, en développant et produisant des pièces et équipements
pour cet avion.
Airbus a conclu plus de 200 contrats importants avec
quelque 120 fournisseurs et partenaires industriels pour des travaux sur
l’A380. Ces derniers ont collaboré au développement et à la mise en oeuvre de
technologies innovantes, de pratiques de travail et de solutions de conception
visant à assurer le succès du programme A380. De nombreux fabricants en Europe,
aux Etats-Unis, au Japon et en Chine ont été choisis à l’issue d’un processus
complet de sélection. Grâce à une telle base de partenaires industriels et de
fournisseurs, Airbus a pu créer un avion qui repose sur les technologies et les
matériaux les plus avancés jamais utilisés sur un avion civil, essentiels pour
offrir au client des avantages opérationnels sans précédent.
L’approche d’Airbus en matière d’approvisionnement pour
l’A380 a généré une saine concurrence entre tous les fournisseurs, les
encourageant à proposer ce qui se fait de mieux pour l’A380 et les autres
programmes Airbus. Parallèlement, les nouveaux fournisseurs, convoités, doivent
également se battre pour rester compétitifs tout au long de la durée de vie du
programme A380.
Afin de s’assurer une chaîne d’approvisionnement aux rouages « bien
huilés », de qualité haut de gamme et extrêmement compétitive, Airbus et
ses fournisseurs ont rationalisé la communication et la collaboration, en
accélérant le processus à tous les niveaux depuis la soumission de l’offre
jusqu’à la livraison. Des logiciels dédiés ont contribué à faciliter cette
nouvelle façon de travailler ensemble.
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Préparation des aéroports
Plus de 60 aéroports de par le monde se préparent en vue de l’exploitation
de l’A380, qui doit démarrer l’année prochaine.
Avec sa voilure de très grande envergure pour une plus grande portance et
ses réacteurs de nouvelle génération, l’A380 a besoin d'une distance moins
longue pour le décollage et l’atterrissage, que les autres avions de grande
capacité. Il peut utiliser les pistes existantes et ses temps de rotation sont
comparables à ceux des autres gros-porteurs actuellement en service.
Si la mise en ligne de l’A380 représente un grand évènement pour
l’industrie du transport aérien, elle n’aura pas pour autant d’impact
significatif sur les améliorations des infrastructures déjà planifiées dans les
aéroports les plus fréquentés du monde.
Dès le début du programme A380, Airbus a consulté les autorités
aéroportuaires et de l’aviation civile, ainsi que les autorités de
certification pour trouver la meilleure définition possible et les meilleures
caractéristiques de performance en vue de répondre à leurs besoins. L’A380 a
été conçu pour être compatible avec les contraintes spatiales et logistiques
actuellement imposées aux aéroports, dans un environnement de plus en plus
réglementé.
Suite à ce processus de consultation, tous les aéroports désireux
d’accueillir l’A380 ont déjà bien avancé leurs préparatifs en vue des premières
opérations. Avec les prévisions d’un triplement du volume du trafic aérien au
cours des 20 prochaines années, les aéroports programment déjà, dans leurs plans
de développement, des améliorations d’infrastructures se chiffrant à des
milliards de dollars. L’A380 s’inscrit parfaitement dans leurs plans – sa
capacité supérieure évite aux aéroports de multiplier les installations
existantes pour pouvoir faire face à l’augmentation de la demande.
Parmi les principaux aéroports du monde déjà prêts à recevoir l’A380,
figurent ceux de Paris CDG, Francfort, Hong Kong et Singapour. Par ailleurs,
d’autres aéroports seront prêts en 2006, tels que ceux de Dubaï, New York JFK,
Kuala Lumpur, Auckland, Melbourne et Sydney.
A l’aéroport JFK, les aménagements pour pouvoir accueillir l’A380 ne
représenteront que deux pour cent des investissements prévus (10 milliards de
dollars) pour faire face à la croissance du nombre de passagers au cours des 10
à 15 prochaines années. A l’aéroport de Londres-Heathrow, quelque 60 000
mouvements d’A380 (décollages et atterrissages) par an pourraient permettre,
d’ici 2016, à près de 10 millions de passagers supplémentaires de décoller de
l’aéroport, ou d’y atterrir, sans qu’il soit nécessaire d’augmenter la
fréquence des vols. « L’A380 est vital pour nous – il va changer la
configuration d’Heathrow et la physionomie des vols long-courriers »,
affirme Eryl Smith, Directeur stratégie commerciale, planification et
développement de l’aéroport d’Heathrow.
« Nous avons préparé l’avenir lors de la conception du nouveau
terminal international pour recevoir les nouveaux gros-porteurs tels que
l'A380, et c’est tout à fait logique, puisque nous assurons 50 vols directs par
jour à destination de 27 villes internationales, dont un bon nombre sera
desservi par l'A380 » a pour sa part déclaré John L. Martin, Directeur de
l’Aéroport International de San Francisco.
L’embarquement à bord de l’A380 ne prendra pas plus de temps que sur les
avions actuels de grande capacité, mais sera largement plus efficace que celui
de son concurrent compte tenu du nombre de passagers bien supérieur accueillis
à bord de l’A380. Le large escalier situé à l’avant de l’A380 permet l’embarquement
simultané et séparé des passagers par
les deux premières portes du pont principal et sans nécessiter de passerelle en
pont supérieur. Toutefois, de nombreux aéroports apprécieraient de pouvoir
utiliser l’accès au pont supérieur et prévoient de proposer cette
caractéristique.
Les services de
catering pour l’A380 auront également un impact minime sur les installations
actuelles étant donné que les portes d’accès au pont principal et au pont
inférieur ainsi que les points de raccordement des services sol se situent à la
même hauteur que sur les gros-porteurs actuels.
En bref, l’A380 aidera les autorités aéroportuaires et les compagnies
aériennes à répondre à la croissance du transport aérien en acheminant un plus
grand nombre de passagers par vol, tout en leur épargnant les coûts onéreux
liés à de nouveaux postes de stationnement et à de nouveaux créneaux.
Du point de vue de l’environnement, l’A380 définit de nouveaux standards
pour l’industrie. Il affiche une consommation de carburant inférieure de 12
pour cent environ à celle de son concurrent le plus proche – l’A380 est le
premier avion long-courrier à consommer moins de trois litres de carburant par
passager aux 100 km, une consommation comparable à celle d’une voiture
économique. La réduction de la consommation se solde par une baisse des
émissions de gaz dans l’atmosphère. Fort de ses caractéristiques aérodynamiques
optimisées et de sa technologie moderne, l’A380 sera considérablement moins
bruyant que les autres gros-porteurs, et génèrera moitié moins de bruit que son
concurrent le plus proche.
Crédit : Collection Spacemen1969 / Stéphane Sebile
Space Quotes - Souvenirs d'espace
Airbus
Toutes les photos présentées, sauf celles signées par le premier équipage de l'A380 ont été
prises par moi.
Toutes les photos présentées, sauf celles signées par le premier équipage de l'A380 ont été
prises par moi.
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